Grunge Tasting !

Publié le : 14 août 20203 mins de lecture

Le lundi 12 décembre 2011, dès 18h à L’Hédoniste (Paris), c’était le  »Grunge Tasting ». Une dégustation publique, gratis, atypique, avec des vrais morceaux de vignerons dedans. Cinq ou six lascars du bon pinard, en chair et en noces, qui sont venus déboucher leur Nirvana à Paris : du Pomerol rebelle, du Languedoc à bloc, un Médoc défroqué, du Bergerac punk, un Roussillon (dé)culotté et un Beaujolais qui fucks@rkozy ! Kurt Cobain a joué de la gratte dans sa tombe, pendant qu’on a goûté leurs vins, atypiques peut-être – mais surtout bon !

Une dégustation grunge (les cheveux gras en moins)

 

Le lieu : L’Hédoniste (14, rue Léopold Bellan, 75002 Paris), l’excellent resto d’Arthur Pétillault. Entrée libre, dégustation gratis, petite restauration en vente sur place.

 

Le temps : Lundi 12 décembre 2011, de 18 heures à 22 heures environ.

 

Les vignerons :

Luc Charlier, le sans-culotte du Roussillon (Domaine de la Coume Majou),

Mathias Marquet, l’utopiste de Bergerac (Château Lestignac),

Didier Michaud, le médocain underground (Château Planquette),

Ivo Perreira, la meilleure crapule du Languedoc (L’Escarpolette),

Pierre Pitiot, l’anti-sarkoziste  »primeur » du Beaujolais (Domaine de l’Astrolabe),

Olivier Techer et son rock and Pomerol (Château Gombaude-Guillot).

 

Tous seront présents en personne ; à l’exception peut-être d’Ivo, incertain malgré lui, mais dont les vins seront bien de la partie.

 

Les vins : Fucks@arkozy 2011, Petite Crapule 2011, L’Escarpolette 2010, L’Enchanteur 2010, Les Vieilles 2010, Jeux de Mains 2010, le Blanc de L’Escarpolette 2011, Les Abeilles des Collinettes, Solelhas, le Cabwerant, L’Ancestral, De Terre et d’Esprit, Majou 2008, La Loute 2010, Casot 2007, Gombaude-Guillot 2003, 2001, 1998, Planquette 2008, 2003… et plus encore : des inédits, des morceaux cachés qui éclaboussent bien !

 

L’organisation : Vindicateur, Oenos, Du morgon dans les veines, et bien sûr L’Hédoniste.

 

En guise de mémo, l’événement Facebook.

 

Le pourquoi : parce que Kurt Cobain aurait aimé être là, parce que Nevermind a 20 ans, pour trinquer, pour goûter, pour cracher dans des crachoirs criards, mais surtout pour découvrir de beaux et bons vins (et éventuellement commander – voire acheter quelques bouteilles – en direct auprès des vignerons). Alors, avec ou sans dreads, come as you are !

 

 

Antonin Iommi-Amunategui

©Vindicateur, 11/2011

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